photo ENTRE COUR ET JARDINS #WEEK-END1

ENTRE COUR ET JARDINS #WEEK-END1

Barbirey-sur-Ouche 21410

Du /00/1e16 au //099

Le premier week-end du festival rendra hommage à Frédéric Bonnemaison, créateur du festival, disparu en février dernier. La programmation réunira, du samedi après-midi au dimanche midi dans les Jardins de Barbirey, des artistes qui ont marqué les précédentes éditions. Pour nombre d’entre-eux·elle·s, leur participation au festival aura été leur toute première expérience de l’in situ, comme Boris Charmatz, DD Dorvillier, Emmanuelle Huynh, Julie Nioche, Laurent Pichaud, Philippe Quesne ou Christian Rizzo. Des installations sonores de Sébastien Roux, de Christian Sebille et de la revue WATT, des textes lus de Célia Houdart et des installations vidéos de Sophie Laly, complèteront cette programmation hommage et accompagneront les publics et les proches dans l’intimité d’une nuit à Barbirey.

photo Piano Bar coule à flot !

Piano Bar coule à flot !

Beaune 21200

Du 10/07/2025 au 02/08/2025

Les propriétaires ont été expropriés, le mobilier a été mis sous scellé, le pianiste a été placé en EHPAD, la meneuse de revue a eu un accident de patin à glace, le crooner a perdu sa voix, … Rien ne va plus au Piano Bar. Mais heureusement, le domaine GUYOT a eu la charité beaunoise de leur donner hospice. Le vin y est bon. Le cadre magnifique. Les saucissons et chèvres s’y sentent bien. De nouveaux artistes rejoignent la troupe. Le Piano Bar reprend des couleurs. Un spectacle à déguster, plus que jamais, sans modération ! Entrée et sortie libres ; on boit et on mange sur place. Pas de CB. Réservation au 06.63.62.66.07

photo Piano Bar coule à flot !

Piano Bar coule à flot !

Musique, Spectacle, Vin - Oenologie

Beaune 21200

Du 10/07/2025 au 02/08/2025

Les propriétaires ont été expropriés, le mobilier a été mis sous scellé, le pianiste a été placé en EHPAD, la meneuse de revue a eu un accident de patin à glace, le crooner a perdu sa voix, … Rien ne va plus au Piano Bar. Mais heureusement, le domaine GUYOT a eu la charité beaunoise de leur donner hospice. Le vin y est bon. Le cadre magnifique. Les saucissons et chèvres s’y sentent bien. De nouveaux artistes rejoignent la troupe. Le Piano Bar reprend des couleurs. Un spectacle à déguster, plus que jamais, sans modération ! Entrée et sortie libres ; on boit et on mange sur place. Pas de CB. Réservation au 06.63.62.66.07

photo Blandine Lehout - Dijon

Blandine Lehout - Dijon

Spectacle

Dijon 21000

Le 14/04/2026

Blandine, c’est un peu la pote qu’on aimerait avoir dans sa bande… Jeune maman, elle revendique l’image de la femme imparfaite. Ce qu’elle défend sur scène, c’est la vie, la vraie, sans filtre, sans retouche. Voir Blandine sur scène, c’est comme être dans le salon de votre pote qui monopolise, certes, un peu l’attention mais avec qui on passe les meilleures soirées (inutile de préciser qui a écrit ce pitch). Elle passe en revue sa vie de couple et les difficultés des jeunes parents, parle des enfants moches, de savoir faire le deuil de sa vie d’avant, des pulsions criminelles que l’on peut avoir pour les moralisateurs, ou pour son propre conjoint, de son rapport à la nourriture, de son double menton… Bref, Blandine livre un spectacle décomplexant, bourré d’autodérision, d’un peu cynisme et de vannes percutantes.

photo Blandine Lehout - Dijon

Blandine Lehout - Dijon

Spectacle, Lecture - Conte - Poésie

Dijon 21000

Le 14/04/2026

Blandine, c’est un peu la pote qu’on aimerait avoir dans sa bande… Jeune maman, elle revendique l’image de la femme imparfaite. Ce qu’elle défend sur scène, c’est la vie, la vraie, sans filtre, sans retouche. Voir Blandine sur scène, c’est comme être dans le salon de votre pote qui monopolise, certes, un peu l’attention mais avec qui on passe les meilleures soirées (inutile de préciser qui a écrit ce pitch). Elle passe en revue sa vie de couple et les difficultés des jeunes parents, parle des enfants moches, de savoir faire le deuil de sa vie d’avant, des pulsions criminelles que l’on peut avoir pour les moralisateurs, ou pour son propre conjoint, de son rapport à la nourriture, de son double menton… Bref, Blandine livre un spectacle décomplexant, bourré d’autodérision, d’un peu cynisme et de vannes percutantes.

photo Le Printemps des Poètes en Côte-d'Or

Le Printemps des Poètes en Côte-d'Or

Lecture - Conte - Poésie

Dijon 21000

Du 12/03/2022 au 28/03/2022

Il en va des mots comme des chansons d’amour qui reviennent par surprise au détour d’une voix, d’un souvenir, d’une émotion. « J’ai pris la main d’une éphémère… » Dansait dans ma mémoire. Sans que je sache qui le premier, de Montand ou Ferré, avait semé ce trouble de l’étrangère en moi. Adolescents nous ne comprenions pas tout à cette romance des années folles, ni même à ce poème que l’on disait roman inachevé, mais pressentions ce mystère de « l’éternelle poésie » qu’Aragon dilapidait sans crier gare. Une seule et unique voyelle, quatre fois invoquée, entre la fièvre, le murmure, la foudre, l’imaginaire, l’insaisissable, l’à-venir, l’impensé, le maternel, le fugace, la soif, l’énigme, le précaire, l’effervescence, le friable, l’envol, l’impermanence… Plus vaste que l’antique Carpe Diem et plus vital aussi, L’éphémère n’est pas qu’un adjectif de peu d’espoir. C’est un surcroît d’urgence, de chance et de vérité. Une prise de conscience toute personnelle et cependant universelle, comme un quatrain d’Omar Khayyam, un haïku d’hiver, un coquelicot soudain, une falaise à soi, un solstice d’été, un arbre déraciné ou la vingtaine de numéros d’une revue de poètes du siècle dernier. Il[...]